Dans Le Chineur du mois de juillet 2008, la rédaction se fait l’écho de la visite des écoliers aux Puces de Vanves.
Merci à la rédaction.
Le site du seul marché antiquité-brocante intra-muros de Paris
Pour la deuxième fois, des enfants de l’école Maurice Rouvier sont venus samedi 31 mai 2008 faire leur première visite du marché aux puces. Cette fois-ci, ils étaient encore plus petits: des CP. Il y en avait dix, accompagnés du directeur de l’école, d’une institutrice et de quelques parents. Trois membres du Collectif des Puces de Vanves leur ont fait parcourir le marché.
Merci à Jocelyne pour leur avoir montré ses bibelots et ses tissus et leur avoir offert des protège-cahiers, à Claude pour ses chevaux de bois, à Abdelkader pour ses meubles et objets design, à Jean-Pierre pour son argenterie et sa bijouterie, à Andrée pour ses boutons, à Patricia pour ses robes et ses cravates et ses chapeaux vintage.
Samedi 17 mai, 13 enfants de l’école élémentaire
8, rue Maurice Rouvier dans le 14 ème arrondissement sont venus voir les brocanteurs sur le marché.
Les enfants, ont été très intéressés et attentifs aux explications des brocanteurs, ils ont posé des questions sur la nature de la marchandise, l’âge, la provenance…..
Une belle matinée pour les enfants comme pour les brocanteurs.
D’autres enfants (CP) viendront sur les Puces Samedi 31 mai.
En décembre dernier, trois membres du Collectif des Puces de Vanves se sont rendus à l’école élémentaire Maurice Rouvier (14ème arrondissement), présenter le marché et la profession aux élèves de quatre classes (CP et CE1).
Un stand entier a été installé dans une salle d’activités de l’école présentant, comme un fragment des Puces du week-end, une sélection d’objets anciens de diverses époques : photographies, livres, cahiers d’écoliers et objets autour de l’écriture, matériel de cuisine, vêtements et accessoires de mode, illustrations, peintures…
Pour poursuivre le contact, les enfants effectueront une visite aux Puces de Vanves un samedi matin de la mi-mai.
Cette action est un projet subventionné par la «Politique de la Ville», que nous remercions ici.
Le retable va être restitué à la France. L’accord a été scellé verbalement, vendredi 9 novembre 2007, entre le président du Syndicat national des antiquaires (SNA), Christian Deydier, et M. Descheemaeker, installé à Anvers et membre du SNA, comme de nombreux confrères étrangers.
« Par cet acte, nous montrons que les antiquaires sont des gens sérieux qui travaillent dans l’intérêt du patrimoine », souligne pour sa part le président du SNA.
Pour lire l’article : http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3246,36-976904,0.html?xtor=RSS-3208 .
Sous ce titre, Le Monde du 9 novembre 2007 relate les aventures d’un retable volé en plusieurs fois à Vétheuil (Val-d’Oise) en 1973, et dont un fragment est aujourd’hui détenu par un marchand anversois, qui consent à le restituer, mais à un prix six fois supérieur à ce qu’il l’a acheté (185.000 €).
On apprend à cette occasion que, contrairement à leurs autres confrères européens, les marchands belges et hollandais ne sont pas obligés de tenir un livre de police. Autre particularité, en Belgique le délit de recel est prescrit au bout de trois ans (en France, il est permanent).
Pour lire l’article : http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3246,36-976065,0.html .
Depuis 1327 dans toutes les provinces de France et d’Europe, le culte de Saint Roch s’est répandu.
Il fut longtemps le Saint le plus populaire dans les campagnes. Il est honoré dans différents pays : Brésil, Espagne, France, Italie, Québec, Sénégal, Croatie…
A Paris, Saint Roch est l’église des artistes depuis sa création en 1653.
C’est le patron des médecins, des chirurgiens, des pharmaciens, des carriers et des paveurs, à cause de son nom, des brossiers, des fripiers, des brocanteurs et des confréries d’ensevelisseurs.
Albert Camus dans son roman La peste, fait organiser par la population une grande procession à Saint Roch.
On le fête le 16 août.