La suite de notre récit de 1776. Et voici la confession proprement dite.
Préparez-vous : après les coups de canons, « que de forfaits ! que de friponneries ! », comme dit le texte. Car de toute façon, un brocanteur, ça ne pense qu’à son oreille (« emportée »), ou au mieux à ses « cacaoins », certainement pas à sa conscience. C’est ce que lui reproche doucement « le Confesseur »…
Si vous n’avez pas lu les deux premières parties, retrouvez-les dans « Archives », catégorie « Les marchands ».
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